Ce que l'on peut aimer dans Rollins : le mélange des genres : aventure, extrapolation sur les recherches scientifiques, implication des mythes. Bref, on est dans le roman populaire par excellence et que j'apprécie : il y a suffisamment d'informations qui stimulent à la fois l'intérêt du lecteur et son intelligence. Avec le dernier oracle, j'ai fait quelques découvertes sur des lieux considérés comme les plus pollués au monde en Russie ou en Chine... Pourtant, ce n'est pas l'intérêt écologique du bouquin qui prime, mais plutôt les approches que l'auteur propose et ce en réalisant un bouquin intéressant.
Intéressant, mais...
Car il y a tout de même quelque chose qui me gêne dans ce bouquin et qui ressort de plus en plus au cours de mes lectures de la série Sygma : les héros sont forts, intuitifs, intelligents et bénéficient d'une structure ultra secrète débordante de moyens techniques et financiers pour lutter contre les méchants... Pour infos, certains personnages sont dans des marécages radiocatifs et a priori s'en sortent bien à l'issu puisque cela n'est pas évoqué à la fin de livre...
Là, je dois dire que cet aspect a quelque chose de lassant : "Le dernier oracle" bénéficie d'une mécanique un peu trop huilée, tout est bien balisée. J'ai failli lâcher le bouquin parce qu'il n'y avait pas la petite magie entraînante au 4/5. J'ai continué et oui, j'ai apprécié, mais sans plus...
5/10
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